Un mot en confidence
Il existe un paradoxe puissant que j'observe souvent dans ma pratique.
Et qu'on ne dit jamais.
Le moment où l’on commence à s’oublier n’est jamais spectaculaire.
Il est PERFORMANT.
C’est ce paradoxe-là qui interroge profondément :
on ne s’oublie pas quand on échoue.
On s’oublie quand on excelle.
Quand tout est fluide.
Quand vous assurez.
Quand vous réussissez sans trembler.
Quand vous devenez cette personne que tout le monde applaudit…
mais que vous ne ressentez plus.
C’est ça, le vrai signal d’alerte.
Pas la fatigue.
Pas le chaos.
L’efficacité.
Parce que l’efficacité,
devient la forme la plus silencieuse (et la plus élégante) de l’épuisement.
Je l’ai observé chez tant de personnes.
Ce moment où vous êtes partout, impeccable, solide…
sauf à l’intérieur.
Là où ça devrait vibrer, ça glisse.
Là où ça devrait résonner, ça s’éteint.
Là où ça devrait se sentir, ça s’exécute.
Et personne ne voit rien.
Parce que tout va bien.
Parce que tout semble bien.
Parce que l’on confond "vivre" avec "tenir".
C’est ici que tout bascule.
C’est ici que s’installe ce que j’appelle le débranchement intérieur.
Ce glissement subtil, propre, presque esthétique,
où l’on ne quitte pas sa vie…
mais où l’on se quitte soi.
Alors aujourd’hui, je vous écris depuis cet endroit de lucidité-là.
Celui qui regarde la vie en face et pose la seule vraie question :
"Est-ce que je suis vivant… ou seulement efficace ?"
La bascule commence souvent ici.
Dans cette seconde précise où l’on reconnaît qu’une vie peut être impeccable…
mais plus tout à fait habité.
C’est une lucidité qui libère.
Parce qu’elle remet la vie au centre,
et la performance à sa juste place.
Bonjour, c’est Christèle 👋,
Bienvenue dans cet espace où l’on ne maquille pas ce qui nous éteint.
Les trois formes du débranchement intérieur
Le débranchement intérieur ne frappe jamais d’un coup.
Il s’installe par couches, par nuances, par micro-écarts que l’on ne voit pas, jusqu’au jour où l’on réalise qu’on vit parfaitement
mais qu’on ne se vit plus vraiment.
Voici les trois formes récurrentes de ce débranchement, dans lesquels vous pourriez vous reconnaitre.
#1. Le débranchement sensoriel :
le corps continue, mais on ne sent plus.
C’est le premier glissement.
Vous faites, vous avancez, vous assumez…
mais quelque chose s’est éteint dans la sensation.
Le plaisir devient lointain.
La fatigue devient muette.
Le corps ne proteste plus : il se met en mode pilote automatique.
C’est le moment où l’on se répète :
“Tout va bien”
alors que le corps dit juste :
“Je n’ai plus la force de ressentir.”
Le danger ici n’est pas la douleur.
C’est l’absence.
#2. Le débranchement identitaire :
la vie continue, mais vous n’êtes plus dedans.
Vous faites exactement ce que vous aviez prévu.
Vous cochez les cases.
Vous assurez.
Mais quelque chose ne colle plus.
Le geste est juste, mais il n’est plus vôtre.
Votre vie avance…
mais elle n’a plus votre empreinte.
Vous réussissez, mais sans vous reconnaître.
Vous êtes efficace, mais déconnectée.
C’est la dissociation fonctionnelle :
le monde vous voit, mais vous ne vous sentez plus dedans.
#3. Le débranchement existentiel :
le mouvement reste, le sens disparaît.
C’est le stade le plus silencieux.
Vous faites tout ce que vous devez faire.
Vous êtes irréprochable.
Impeccable.
Mais vous ne savez plus pourquoi.
Le mental exécute.
Le calendrier roule.
L’identité tient droit…
mais l’existence ne résonne plus.
Ici, l’épuisement n’est pas une fatigue.
C’est un effacement.
L’élégance d’une vie bien réglée,
mais qui ne vous porte plus.
Le débranchement intérieur
n’est pas un problème de performance.
C’est un problème de présence.
Un décalage entre ce que vous faites et ce que vous ressentez en le faisant.
Le vrai travail commence au moment où vous osez nommer ce glissement.
Parce qu’on ne se reconnecte jamais en ajustant l’agenda.
On se reconnecte en réapprenant à habiter ce que l’on vit.
RETOUR D'EXPÉRIENCE
" Je gère tout, sauf moi..."
Garry a 46 ans.
Un homme solide, carré, respecté.
Dans son entourage, on dt toujours la même phrase : « Lui, il gère. »
Et chaque fois qu’on lui lançait
« Toi, tu gères ! »,
il sentait cette petite décharge intérieure :
celle de la reconnaissance, celle qui flatte, celle qui légitime.
Et c’est précisément là que le piège s’est refermé.
Parce que gérer, il savait.
Il savait même très bien.
Il savait mieux que tout le monde.
Mais gérer était devenu autre chose qu’une compétence.
C’était devenu son identité.
Sa preuve. Sa valeur.
Sa place.
Il était devenu l’homme qui gère.
Alors il a continué. Encore. Et encore.
Parce qu’on ne lâche pas un rôle dans lequel
tout le monde vous admire.
Jusqu’au jour où il m’a dit cette phrase, sans souffle :
« Je gère tout… sauf moi. »
Et tout était là.
Le débranchement intérieur dans sa forme la plus élégante.
Il ne vivait plus.
Il gérait.
Sa valeur était dans ce qu’il permettait aux autres, jamais dans ce qu’il se permettait à lui.
Quand il est arrivé en séance, il ne parlait pas d’épuisement.
Il parlait de confusion.
Une phrase courte, coupante :
« Je suis devenu tellement efficace… que plus personne ne me voit.
Même pas moi. »
Ce n’était pas de la fatigue. C’était un effacement identitaire.
D’une propreté clinique.
Il cochait les cases. Il assurait. Il livrait.
Mais il ne se sentait plus dedans.
Il n’existait plus que comme fonction.
Comme utilité.
Comme ressource.
Alors je lui ai donné la phrase que personne n’avait osé lui dire :
« Vous êtes applaudi… pour la partie de vous qui vous détruit. »
Silence.
Sec, dense, radical.
Un silence où une vie entière repasse dans le viseur.
Puis il a murmuré :
« Si j’arrête de gérer… je deviens qui ? »
Ce fut le point d’impact.
Le cœur exact du débranchement intérieur.
Le moment où l’efficacité cesse d’être une force
et devient une disparition.
C’est à partir de cet endroit-là, que le travail a commencé.
Garry a vu l’évidence, dérangeante mais, libératrice :
il gérait tout… sauf lui.
💬 Et vous
Où est-ce que vous “gérez” tellement bien
que personne ne voit plus ce que ça vous coûte ?
Cet endroit précis, là, où vous brillez…
mais où vous ne vous sentez plus dedans.
💌 Sachez que je lis toujours vos réponses.
Votre entraînement du week-end :
La question qui débranche… ou qui rebranche
🎯 Objectif : repérer l’endroit précis où vous vous êtes quitté.
1️⃣ Stop.
Fermez les yeux.
Trente secondes.
Arrêtez le pilotage automatique.
Laissez tout se suspendre — juste assez pour entendre ce qui grince.
2️⃣ Posez la question.
👉 “Qu’est-ce que je réussis… qui ne me ressemble plus ?”
Laissez-la traverser le mental, descendre dans le ventre,
se fixer là où ça coince.
3️⃣ Écoutez la réponse corporelle.
Elle n’arrive jamais par la pensée.
Elle arrive par le corps.
Un poids. Un pincement.
Un symptôme que vous contournez
Une évidence qu’on préférerait éviter.
✨ C’est là.
Le point exact du débranchement intérieur.
Le point où vous avez continué à exceller…
dans quelque chose qui ne vous contenait plus.
Parce qu’on ne s’égare jamais en échouant.
On s’égare en excellent dans ce qui ne nous appartient plus.
Une pensée pour vous :
Il arrive un moment où tout fonctionne… et où vous ne vous sentez plus dedans.
Quand ça se produit, rappelez-vous :
être efficace ne remplace jamais être présent.
Ma recommandation d'expert :
Le protocole pour ne plus s’oublier.
Quand l’efficacité remplace l’existence, on n’improvise pas.
On intervient avec méthode.
Voici le protocole du jour.
Il sert à recoller l’intérieur là où l’efficacité vous a décroché.
C’est la structure qui remet du vrai là où vous avez tenu en pilote automatique.
Et pour passer du déclic à l’intégration,
les ateliers sont l’espace où l’on transforme ce protocole en vécu : en mouvement, en avancée réelle.
1️⃣ Le corps : l’indicateur qui ne ment jamais
Le débranchement commence toujours avant le mental.
Toujours.
Le corps signale l’endroit où vous vous êtes quittée :
tensions, souffle raccourci, sommeil instable, perte d’élan, agitation fine, ce sont les signaux faibles qui précèdent les symptômes plus importants.
Ce ne sont pas des détails.
Ce sont des coordonnées.
👉 Votre protocole : commencer par écouter ce qui se tend, ce qui s’éteint, ce qui résiste.
Pour le mettre en pratique ?
L’atelier Quand le corps dit stop vous permet d’aller plus loin :
décoder les signaux, comprendre leur logique, les relier à vos mécanismes
d’adaptation.
Pour qui ?
Pour vous si vous sentez que “tout va bien”… sauf à l’intérieur.
Ce que ça change :
– Vous comprenez ce que votre corps vous signale depuis trop longtemps
– Vous repérez l’endroit exact où le débranchement a commencé
– Vous évitez l’effondrement silencieux
👇 Je décode mes symptômes👇
2️⃣ Clarifier les choix pour réorienter la vie
Quand on s’oublie, on continue d’avancer.
Mais plus pour soi.
On agit par loyauté, par rôle, par réflexe.
Les gestes restent justes,
mais ils ne sont plus habités.
👉 Votre protocole : identifier un choix qui fonctionne… mais ne vous
ressemble déjà plus.
Pour l’intégrer ?
La méthode COSE vous aide à trier : ce qui est automatique, ce qui est aligné, ce qui est mort mais continue d’exister par habitude.
Pour qui ?
Pour vous si votre vie “fonctionne”… mais plus vraiment pour vous.
Ce que ça change :
– Vous distinguez l’automatisme du choix aligné
– Vous reprenez la direction intérieure
– Vous cessez de performer une vie qui n’est plus la vôtre
👇 Je reprends mes décisions en main👇
3️⃣ Neutraliser le driver qui gouverne à votre place
Derrière chaque performance impeccable,
il y a un driver qui pousse trop fort :
Sois parfait. Sois fort. Fais plaisir. Dépêche-toi. Fais un effort.
Un driver peut gouverner dix ans de votre vie sans jamais prononcer un mot.
👉 Votre protocole : repérer le driver qui épuise votre présence.
Pour le désactiver ?
L’atelier Qui pilote vos choix ? vous montre comment reprendre le
commandement intérieur.
Pour qui ?
Pour vous si vous êtes brillant dans l’action mais absent dans vous-même.
Ce que ça change :
– Vous identifiez le driver qui pilote vos journées
– Vous comprenez comment il sabote votre présence
– Vous reprenez le commandement intérieur
👇 J'identifie mon driver dominant 👇
🚀 Votre protocole du jour
1️⃣ Le corps vous montre où vous vous êtes quitté.
2️⃣ La clarification révèle ce qui n’est plus vous.
3️⃣ Le driver révèle ce qui décide à votre place.
Chaque atelier répond à un besoin précis
Tous accessibles uniquement jusqu’au 30 décembre 2025.
Je vous souhaite une belle exploration.
📩 On se retrouve le week-end prochain
Pour de nouvelles aventures intérieures
Christèle 🌱
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Consultation d'expert
Un déclic arrive rarement par hasard.
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Best seller
100% santé émotionnelle
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Dire stop
à la faim émotionnelle
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Mode d'emploi
pour soi et pour les autres
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Pack 1 Se délester, Rebrancher sa confiance, Réconcilier ses émotions, S'aligner
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Pack 2 : Émotions, décisions, confiance : l'expérience pour se réaligner
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