Et si votre intuition
savait déjà
ce que vous cherchez ?

Ma lettre personnelle #40

Un mot en confidence

Il y a une chose que j’entends souvent, dans la bouche des personnes que j’accompagne : des chefs d’entreprise, des artistes, des sportifs, des décideurs et tout autre horizon :

“Vous touchez toujours juste.
Comme si vous saviez déjà ce que je n’arrivais même pas à formuler. Comme si vous étiez déjà allée là où je n’ai jamais osé entrer.”

Ce n’est pas un hasard.

Et ce n’est pas un don.

C’est le fruit d’une équation rare, presque chirurgicale, que j’ai construite pièce par pièce, année après année :

– une clinique exigeante,

– une intelligence émotionnelle affûtée,

– une intuition non négociable,

et surtout...une méthode.

Car ressentir ne suffit pas. Savoir écouter ses intuitions ne suffit pas.

👉 Ce qui transforme vraiment, c’est de pouvoir les traduire, les structurer, les canaliser.

Sinon, l’intuition devient une sensation floue. Ou pire : un piège brillant.

C’est ce que j’ai compris le jour où j’ai cessé de cloisonner.

Il y avait d’un côté la rigueur, et de l’autre, ce que je sentais.

Et puis, un jour, j’ai fait entrer l’intuition dans le cadre.

Je l’ai inscrite dans ma pratique. Dans mes protocoles. Dans mes décisions.

Et ce jour-là, ma clinique a changé de puissance.

Ce que j’ai découvert, c’est que l’intuition — quand elle est méthodiquement intégrée — devient un outil d’une justesse redoutable.

Plus de clarté. Plus de vitesse. Plus de transformation.

Et ce que j’ai vécu chez moi, je le vois chaque jour chez ceux que j’accompagne.

👉 Quand on associe l’intuition à la science, à l’émotion et à une méthode claire, on active un pouvoir d’intervention qu’aucune approche isolée ne permet.

Ce que j’ai découvert, c’est que l’intuition n’a de valeur que lorsqu’elle s’appuie sur une lecture fine du vivant.

Ce n’est pas une magie. C’est une technologie intérieure de haute précision.

Et cette puissance ne vient pas d’un seul levier.

Elle vient de leur alliance :

📍 l’intuition,

📍 la méthode,

📍 la rigueur clinique,

📍 l’intelligence émotionnelle.

Quand ces quatre dimensions travaillent ensemble,

alors on ne devine pas. On s'aligne.

L’intuition n’est pas un luxe réservé aux autres.

Mais, encore faut-il apprendre à l’écouter sans la sacraliser.

À la questionner sans l’invalider.

À l’entraîner sans la figer.

C'est pour cela que chaque jour, je l'active, je le transmets, je l'enseigne.

Car je crois qu’aujourd’hui, il ne suffit plus d’écouter son intuition.

Il faut l’entraîner. La questionner. L’inscrire dans un système solide.

Et surtout :

👉 la faire coopérer avec tout le reste.

C’est là qu’elle devient puissante.

Et profondément humaine.

Bonjour, c’est Christèle 👋,

Bienvenue dans cet espace où l’on ne vous demande pas de croire à l’intuition… Mais d’apprendre à l’écouter avec exigence, à la tester, à l’aiguiser. Et peut-être… à lui faire une place dans vos décisions les plus justes.

L’intuition, ce savoir qui ne dit pas son nom

On croit souvent que l’intuition appartient aux mystiques, aux artistes, aux “gens sensibles”.

Comme s’il fallait choisir un camp :

La logique ou l’intuition.

La preuve ou le ressenti.

Le rationnel ou l’irrationnel.

Mais cette opposition est une erreur.

L’intuition n’est pas l’inverse de la raison.

Elle en est parfois la préface.

L’intuition, en clinique, désigne cette connaissance immédiate, qui surgit sans raisonnement conscient. C’est un pressentiment, une conviction intime, une clarté soudaine.

Mais attention :

- Ce n’est pas magique.

- Ce n’est pas infaillible.

- Ce n’est pas toujours juste.

Car l’intuition n’échappe pas aux biais.

Elle peut être brillante…

… ou totalement faussée.

👉 Selon ce qui l’alimente, elle devient une boussole ou un boomerang.

Une intuition peut naître de votre expérience, de votre finesse perceptive, de votre mémoire émotionnelle. Mais elle peut aussi être le reflet direct de vos peurs, de vos croyances limitantes, de vos conditionnements culturels ou familiaux.

On confond parfois intuition et anxiété anticipatrice,

ou intuition et répétition inconsciente de schémas anciens.

C’est pour cela qu’en psychologie,

on n’invite jamais à “suivre son intuition aveuglément”…

Mais à l’écouter clairement, humblement, et surtout, à la confronter.

🎯 La vraie question n’est pas : “Ai-je de l’intuition ?”

Mais : “Qu’est-ce qui parle vraiment en moi à cet instant ?”

RETOUR D'EXPÉRIENCE
Quand l’intuition lui chuchotait, mais que la raison disait chut !

Maëlys est avocate, spécialisée en droit du travail.

Solide. Stratégique. Brillante.

Mais fatiguée. Très fatiguée.

Depuis des mois, elle sent que quelque chose cloche dans son cabinet.

Elle a ce “truc” qui la dérange, mais sans preuve.

Des décisions qui se prennent sans elle.

Une cliente qui disparaît soudainement.

Un associé qui l’évite.

Elle pense à un excès de sensibilité. Elle se dit qu’elle “paranoïe”.

Jusqu’au jour où elle découvre que deux associés préparent sa mise à l’écart.

Et là, elle me dit :

👉 “Christèle, je le savais. Je l’ai senti. Mais je ne voulais pas m’écouter.”

Je lui pose cette question : “Et si ce n’était pas que vous ne vous êtes pas écoutée… mais que vous ne saviez pas encore traduire ce que vous sentiez ?”

Et c’est là que tout change.

Parce qu’elle comprend que son intuition n’était pas un don.

C’était un signal.

Mais elle n’avait pas appris à le lire.

Ni à lui faire confiance.

Ni à le tester.

Depuis, elle a repris la main.

Pas en devenant “intuitive”…

Mais en devenant "fluente" dans sa propre grammaire émotionnelle.

Et ça, c’est une compétence.

💬 Et vous

Avez-vous déjà senti quelque chose de juste…

mais choisi de l’ignorer, au nom du raisonnable ?

Ou à l’inverse, cru suivre une intuition…

pour finalement rejouer un vieux scénario déguisé ?

Et si l’intuition ne disait pas toujours la vérité…

mais révélait où se cache votre vérité ?

📩 Répondez-moi simplement par retour de mail, ou sur mon canal privé Instagram [by Christèle].

Votre entraînement du week-end :
L’intuition : outil ou écho ?

🎯 Objectif : distinguer une intuition claire… d’un conditionnement qui se déguise.

1️⃣ Repérez un moment récent où vous avez ressenti un élan intérieur, une impression, un “je le sens”…

→ Mais que vous n’avez pas suivi.

2️⃣ Demandez-vous :

→ Était-ce une peur ? Une habitude ? Un doute légitime ?

→ Ou un véritable signal intérieur ? (rapide, clair, sans justification).

3️⃣ Complétez cette phrase :

→ “Je croyais que c’était une idée en l’air. Mais c’était déjà une certitude.”

4️⃣ Identifiez un domaine où votre intuition pourrait devenir une alliée stratégique.

→ Une décision à venir, une relation, un projet, un rendez-vous.

5️⃣ Prochaine fois que vous ressentez un signal :

→ Notez-le. N’agissez pas tout de suite.

→ Mais commencez à lui faire une place. Il est peut-être plus fiable que vous ne croyez.

Une pensée pour vous :

Et si ce que vous appelez “doute” était en réalité une intuition que vous n’avez pas encore osé croire ?

Parfois, ce n’est pas la clarté qui manque.

C’est la permission d’écouter ce qui est déjà là.

Ma recommandation d'expert :

Vous pouvez avoir une intuition brillante…

et vous faire déborder par vos émotions.

Ce n’est pas une contradiction.

C’est un signal.

Un signal que l’intelligence intuitive ne peut se déployer qu’à une seule condition : 👉 Quand vos émotions deviennent des alliées — et non des pollueurs internes.

C’est exactement ce que nous allons explorer dans le prochain :

🌿 Atelier Signature #3 — Réconcilier ses émotions

Décoder et apprivoiser vos émotions pour ne plus vous faire déborder

Pourquoi vos émotions débordent quand vous êtes le plus lucide ?

Comment faire de la place à ce que vous ressentez, sans que ça prenne toute la scène ?

Et comment reprogrammer vos réactions automatiques (colère, peur, évitement, contrôle) pour ne plus vous sentir envahi·e ?

Dans cet atelier, vous allez :