Si vous manquez ces 8 minutes, vous passez à côté | Ma lettre sans filtre #42


La sécurité émotionnelle tient parfois… dans un seul mot.

Ma lettre personnelle #42

Un mot en confidence

Il y a des gens qui passent des heures avec vous… et avec qui vous ne vous sentez jamais en sécurité.

Et d’autres qui suffisent à être là cinq minutes… et vous vous sentez enfin exister.

Ce n’est pas une question de temps.
C’est une question de disponibilité émotionnelle.

La ressource la plus rare aujourd’hui n’est pas l’attention.
C’est le droit d’être soi, sans avoir peur de déranger.

Bonjour, c’est Christèle 👋,

Bienvenue dans cet espace où l’on explore un paradoxe essentiel : la sécurité émotionnelle n’est pas un état qu’on “possède” ou qu’on “perd”. Elle se fabrique dans des micro-gestes de clarté. Et parfois, huit minutes suffisent.

La sécurité émotionnelle tient parfois en huit minutes

On confond souvent “avoir du temps” et “être disponible”.

Mais la disponibilité émotionnelle n’a rien à voir avec la durée.

C’est la capacité à être vraiment là, à offrir une présence claire, sans fuite ni distraction.

Et cette ressource est rare, parce qu’elle nous demande un disponibilité psychique : mettre en pause son monde intérieur pour accueillir celui de l’autre.

👉 Cliniquement, c’est décisif.

Un lien peut durer des années sans jamais offrir de sécurité émotionnelle

et quelques minutes de vraie disponibilité peuvent suffire à apaiser un système nerveux saturé.

Alors pourquoi est-ce si difficile d’oser demander cette disponibilité ?

Parce que nos drivers intérieurs brouillent la demande :

– “Ne dérange pas.”

– “Sois fort.”

– “Tiens bon.”

Ces injonctions inconscientes, héritées de l’enfance, nous poussent à encaisser au lieu de demander.

Elles nous enferment dans le flou :

👉 “Je voudrais… mais je ne peux pas.”

👉 “Je devrais… mais je n’ose pas.”

Et ce flou est toxique.

Car ce qui attaque la sécurité émotionnelle, ce n’est pas le manque d’amour.

👉 C’est l’ambiguïté permanente : ce moment suspendu entre espoir et peur, qui maintient le système émotionnel en alerte.


Une étude relayée par The New York Times en 2021 l’a montré :

8 minutes de conversation claire et régulière suffisent à réduire anxiété, solitude et symptômes dépressifs.

C’est ce qui a inspiré Simon Sinek.

Avec une amie, ils ont instauré un code simple :

👉 “As-tu 8 minutes pour moi ?”

Un code simple, presque anodin… mais qui enlève l’ambiguïté.

Et qui, en une phrase, transforme l’angoisse en sécurité.

Et c’est là que tout change :

la sécurité émotionnelle ne tient pas en années,

elle tient parfois… en huit minutes.

Huit minutes qui ne donnent pas la réponse parfaite.

Huit minutes qui offrent bien plus :

👉 la permission de demander.

Alors j'ai envie de vous poser une question :

à qui pourriez-vous oser envoyer ce message aujourd’hui ?


RETOUR D'EXPÉRIENCE
Quand le masque devient plus lourd que la blessure.

En séance, Nadia, 42 ans, me confie :

“C’est fou… Je gère 120 personnes au quotidien, je prends des décisions stratégiques qui engagent des millions, et pourtant, dès que je rentre dans la sphère amoureuse… c’est la catastrophe. J’ai peur de demander. Peur qu’on me dise non. Comme si je redevenais minuscule.”

Ce paradoxe est fréquent.

Dans sa vie professionnelle, Nadia a bâti un rempart de contrôle : elle décide, elle impose le rythme, elle maîtrise l’incertitude.

Mais dès qu’il s’agit d’amour, ce rempart se fissure.

Ce n’est plus la dirigeante qui parle…

👉 C’est la petite fille marquée par une carence affective précoce, qui a appris à se taire pour ne pas perdre l’affection qu’elle recevait.

Nous avons travaillé à faire dialoguer ces deux parts :

– la femme de pouvoir,

– l’enfant vulnérable.

Non pour les opposer.

Mais pour les réconcilier.

Nadia a découvert qu’elle pouvait demander dans l’amour avec la même clarté qu’au travail — sans confondre un refus avec une condamnation.

La semaine suivante, elle m’a dit :

“J’ai réalisé que dans mon entreprise, je demande en tant que CEO, mais en amour, c’était toujours la petite fille qui réclamait. Tant que je n’unissais pas ces deux voix, je restais fracturée.”


💬 Et vous

Quand la demande reste coincée, que reste-t-il ?

Le confort d’un silence… ou l’angoisse d’un lien incertain ?

Et si la sécurité émotionnelle commençait exactement là : au moment où vous osez demander, sans détour ?

📩 Répondez-moi simplement par retour de mail, ou sur mon canal privé Instagram [by Christèle].


Votre entraînement du week-end :
Mini-baromètre de votre sécurité émotionnelle

🎯 Objectif : mesurer en 5 questions rapides votre niveau de sécurité (ou d’insécurité) émotionnelle.

👉 Lisez chaque phrase et observez votre réaction intérieure : vrai / faux.

1️⃣ Quand j’ai besoin d’aide, j’attends que l’autre devine plutôt que de demander clairement.

2️⃣ Quand je ne reçois pas de réponse immédiate, je doute de ma valeur plus que de la disponibilité de l’autre.

3️⃣ Formuler une demande me semble risqué, comme si un “non” disait quelque chose de qui je suis.

4️⃣ Je me surprends souvent à ruminer : “Est-ce que j’ai trop demandé ?”

5️⃣ J’ai du mal à croire que ma présence, à elle seule, puisse être un cadeau dans la relation.

📊 Résultats

0 “vrai” → Votre sécurité émotionnelle est solide : vous savez clarifier vos besoins sans craindre que cela définisse votre valeur.

1 à 2 “vrai” → Votre sécurité émotionnelle fluctue : elle existe, mais elle s’effrite dès que le flou s’installe.

3 “vrai” ou plus → Votre sécurité émotionnelle est fragile : vous restez en vigilance constante, dans la peur d’être “de trop”.


Une pensée pour vous :

Et si la vraie sécurité émotionnelle commençait le jour où l’on cesse d’espérer être deviné… pour oser se montrer clairement ?


Ma recommandation d'expert :

On pense souvent que nos choix sont libres.

En réalité, ils obéissent à des injonctions anciennes.

👉 Ces Driverssois parfait, fais plaisir, dépêche-toi, sois fort, fais des efforts — guident nos décisions bien plus qu’on ne l’imagine.

Leur décryptage est un moment transformateur.

Parce que lorsqu’on les identifie, on comprend enfin :

  • pourquoi on s’épuise,
  • pourquoi on se sabote,
  • ou pourquoi on reste coincé dans certains schémas.

Et surtout… on découvre comment en faire des alliés, au lieu de subir leur pilotage automatique.

À chaque fois que j’anime ce travail sur les Drivers, pour tous, c’est le même choc : réaliser qu’ils n’étaient pas “trop exigeants”, “trop gentils” ou “trop durs”… mais simplement pilotés par une injonction ancienne.

C’est exactement ce que nous allons explorer ensemble dans le prochain :

🎯 Atelier Signature #4 – Qui pilote vraiment vos choix ?

Décoder vos Drivers pour reprendre le contrôle

Au programme :

  • Identifier vos Drivers dominants et leur origine.
  • Comprendre comment ils influencent vos décisions, vos relations, et votre estime.
  • Vous autoriser de nouvelles permissions pour avancer plus aligné.

Un atelier transformateur, parce qu’il vous redonne votre énergie, vos choix et votre liberté

📅 Mercredi 20 août – 19h (Live + Replay)

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Pilier

Mercredi 13 août

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Transformateur

mercredi 20 août

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Au week-end prochain

Christèle 🌱


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