Tu ne repars pas de zéro. Tu repars de toi | Ma lettre sans filtre #34


Ces épreuves qu’on croit être la fin… et qui sont parfois
le point de départ

Ma lettre personnelle #34

Un mot en confidence

Je suis tombée sur une fiche que j'avais griffonnée il y a quelques mois.
Un mot simple, brut, écrit sans filtre :

“Tu ne repars pas de zéro. Tu repars de toi.”


Je me l’étais écrit pour ne pas flancher.
C’était après une opération. Une tumeur. Une corde vocale paralysée.
Neuf mois sans voix. Sans savoir si elle reviendrait.
Neuf mois à me battre pour retrouver ce souffle qui me permet d’exister, de dire, d’être utile.

Et en parallèle, l’arrêt de la Clinique E-Santé. Un projet pionnier. 15 000 patients. Une équipe engagée. Mais un monde – celui de la e-santé – où l’idéal ne suffit pas si le modèle économique ne suit pas.

J’ai fait ce que j’ai pu, avec mes moyens, mes forces, mes limites.
Et il y a eu un moment où j’ai cru que tout s’effondrait.


Mais non.
Ce n’était pas un effondrement.
C’était un reparamétrage.

Parce que repartir de soi, ce n’est pas recommencer de zéro.
C’est repartir avec les cicatrices.
Avec l’expérience.
Avec une lucidité plus tranchante que tous les business plans du monde.

Et aujourd’hui, je le vois chez moi, je le vois chez mes patients, je le vois chez les sportifs, les artistes, les dirigeants, les mères de famille :

On croit qu’on repart de rien.
Mais en réalité, on repart du plus grand capital qu’on ait : soi-même.

Bonjour, c’est Christèle 👋,

Bienvenue dans cet espace où on ne vend pas de recette magique. Mais où on rappelle que même les plus solides peuvent s’effondrer. Et que ce n’est pas la fin. C’est souvent le début d’autre chose.


Quand tout s’effondre…

Il y a ces moments où même les piliers qu’on croyait inébranlables vacillent : Une rupture. Un licenciement. Une maladie. Un abandon. Et soudain, le sol se dérobe. Et l’ego aussi.

Quand l'effondrement surgit, ce n’est pas seulement un événement extérieur qui s’impose. C’est un système intérieur qui se disloque.


Le cerveau perd ses repères d’anticipation. Le système nerveux passe en mode survie : figement, agitation, sidération.

Et le discours intérieur devient brutal :
« Je n’y arriverai pas. »
« Je ne sers plus à rien. »
« Je suis seul. »


Ce n’est pas de la fragilité. C’est une tentative de réorganisation interne quand tout vacille. Et c’est pour cela qu’on croit devoir tout reconstruire. Mais en réalité… il s’agit plutôt de déconstruire ce qui n’était plus vivable.

💬 Et vous, d’où repartez-vous aujourd’hui ?

Pas ce que vous allez faire. Pas ce que vous devez réussir. Mais ce qui, en vous, résiste encore. Tient. Ou renaît.

→ Un mot.
→ Une intuition.
→ Un point de vérité intérieure.

Peut-être que ce n’est pas si clair encore. Mais si vous deviez poser un mot sur l’endroit en vous qui reste debout, même après la tempête… ce serait lequel ?

📩 Partagez-le-moi. Déposez-le en commentaire. Je vous lis sur Instagram, Facebook, TikTok, ou dans le canal privé [by Christèle].

Parce que repartir de soi, c’est d’abord oser se recontacter là où on ne s’était plus écouté.


Retour d’expérience :
"Il ne courait plus… il fuyait"

Julien, 33 ans.

Ultra-traileur, compétiteur dans l’âme.
Mais cette fois, il ne courait pas pour gagner. Il courait pour oublier.
Une rupture. Une perte de sens. Un corps en pilotage automatique.

Il doublait les entraînements. Il étouffait les émotions sous les kilomètres.
Mais ce n’était plus du sport. C’était de la survie.

🧭 En séance, on a tout ralenti.

  1. Il a rangé le chrono. Pour courir sans se juger. Pour juste s’écouter.
  2. Il a redonné un sens à chaque course. Une question :
    Pourquoi je cours aujourd’hui ?
  3. Il a visualisé non pas une victoire, mais une acceptation.
    Un ancrage, un souffle, une scène interdite qu’il a pu ressentir sans fuir.

Et ce jour où il a recouru, sans forcer, sans fuir…
il m’a dit : “Je crois que j’ai gagné, pour la première fois.”
Pas une course. Une réconciliation.

💬 Et vous, de quoi repartez-vous ?

Pas besoin d’un grand projet. Juste cette lucidité : qu’est-ce que j’ai appris de moi dans ce chaos ?

📩 Écrivez-moi. Je vous lis, comme chaque semaine. Instagram, Canal privé, Facebook, TikTok. Vos mots me nourrissent autant que les miens vous touchent.


Votre entraînement du week-end :
Ce que j’ai traversé m’a donné…

🎯 Objectif : vous reconnecter à ce que vos épreuves vous ont apporté (plutôt qu’enlevé).

1️⃣ Listez 3 situations de vie que vous avez cru "perdre" :
→ une rupture, un échec, un poste, un rêve, un lien.

2️⃣ Pour chaque situation, complétez cette phrase :
→ "Ce que j’ai cru perdre… m’a permis de…"

3️⃣ Et terminez par cette affirmation :
→ "Je ne repars pas de zéro. Je repars de…"

📍 Votre intuition vous soufflera peut-être :
→ "Je repars de ma lucidité."
→ "Je repars de ma force."
→ "Je repars de mon humilité."

Laissez venir. Écrivez. Et voyez ce que cela change.


Une pensée pour vous :

On croit que repartir de zéro, c’est un échec.
Mais repartir de soi, c’est peut-être le plus grand acte de puissance.
Un ancrage. Une déclaration. Une vérité retrouvée.


Ma recommandation d'expert :

🔥 Vous voulez tenir. Mais ce n’est pas de tenue dont vous avez besoin. C’est de transformation.

Si vous vous sentez à bout, ce n’est pas un hasard.
Ce n’est pas un "creux de vague". C’est un signal.

Quand le corps flanche, quand la tête cogne, quand tout devient trop…
👉 C’est qu’il est temps de changer de paradigme, pas de s’acheter un agenda mieux organisé.

🎯 Le programme Métamorphose – Spécial Charge Mentale & Burnout n’est pas là pour "adoucir".

Il est là pour recâbler. Pour faire un arrêt stratégique. Pour pivoter.

✔ Basé sur des années d’accompagnement de patients en état d’épuisement.
✔ Structuré pour remettre à plat ce qui vous a mis à plat.
✔ Et conçu pour que ce que vous traversez… devienne une mue, pas une chute.

🛑 Si vous cherchez un pansement, ce programme n’est pas pour vous.
✅ Mais si vous cherchez une issue, solide, clinique, éprouvée : c’est le moment.

👉 je découvre le programme Métamorphose : le protocole clinique qui réapprend à votre système nerveux à respirer. Pour de vrai.



📢 Mon actualité :

Et ça tombe à pic…

➡️ Table ronde : Tomber et se relever

📅 Ce mardi 24 juin, j’aurai le plaisir de participer à une table ronde exceptionnelle organisée par @maison123, sur un thème qui me tient particulièrement à cœur : "Tomber et se relever."

Aux côtés de Constance Hamel et Alice Develle, on parlera de ces moments où tout bascule — et de ce qu’on en fait.

🎙 Chutes, doutes, renaissances : comment traverser, transformer, et surtout… se reconstruire sans se renier. Un échange sincère, sans fard, où la vulnérabilité devient une force.

👉 Restez connectés : je vous partagerai les coulisses et les temps forts très bientôt.

➡️ Reprise des ateliers Signature

Vous êtes nombreux à me le demander…

Et oui, les Ateliers Signature reviennent très bientôt.
Mais je préfère être honnête : mon agenda a été un peu chamboulé ces derniers jours. Rien de grave, mais de quoi décaler un peu l’annonce officielle.


🎯 Les dates arrivent très vite, et je vous les partagerai d’abord sur Instagram et Facebook, et dans le canal privé [by Christèle].


Soyez attentifs
: les places pour les ateliers partent souvent vite, car chaque session est un rendez-vous pour une transformation réelle, pas juste une discussion théorique. Et un moment pour vous.


Le week-end prochain :

Lettre #35 – Quand l’amour fait peur

On en parle très peu.

Mais être aimé sans condition… peut être déstabilisant.

🔐 Et si ce n’était pas le manque d’amour qui faisait mal…

mais l’amour reçu qu’on ne sait pas accueillir ?

Christèle 🌱


Un atelier, un déclic !

Les Ateliers Signature de Christèle Albaret vous invitent à sortir des sentiers battus : découvrez les prochaines thématiques qui transforment.

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Christèle Albaret

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