Un mot en confidence
Il y a un mot que j’entends souvent en séance.
Pas un grand mot savant.
Un simple "désolée".
“Désolée Christèle…”
Quand une larme déborde.
Quand la voix tremble.
Quand un chagrin se dit enfin.
Comme si le simple fait de montrer qu’on a besoin d’être accueilli… était déjà une faute.
On parle beaucoup du manque d’amour.
Mais on parle moins de ce qui nous terrifie parfois encore plus :
L’amour qu’on reçoit. La place qu’on nous offre. La tendresse qu’on n’a pas appris à tolérer.
Recevoir de l’amour, ce n’est pas juste accepter la main de l’autre.
C’est cesser de se retirer, de s’excuser, de se diminuer pour rester “suffisamment supportable”.
C’est s’autoriser à être vu.
Même vulnérable.
Même imparfait.
Même vivant.
Bonjour, c’est Christèle 👋,
Bienvenue dans cet espace où l’on ne confond pas force et fermeture.
Et où on rappelle qu’accepter d’être accueilli, ce n’est pas être faible.
C’est avoir assez de courage pour cesser de se justifier d’exister
Quand l'amour fait peur...
On croit souvent que ce qui fait souffrir, c’est le vide.
L’absence de gestes, de reconnaissance, de soutien.
Mais parfois, ce qui nous déstabilise le plus…
c’est quand la main se tend.
Quand quelqu’un nous regarde sans jugement.
Quand il n’y a rien à prouver.
Parce que ce regard, cet accueil, viennent toucher exactement l’endroit en nous où nous n’avons jamais su nous recevoir nous-mêmes.
C’est là que le sabotage commence :
- Le doute : "Si on m’aime, c’est qu’on ne voit pas clair…"
- Le retrait : "Je vais finir par décevoir."
- La fuite : "Je préfère partir avant qu’on me rejette."
Ce n’est pas une stratégie consciente.
C’est un système de protection.
Parce que pour beaucoup, être aimé, c’est être redevable.
C’est risquer de ne plus avoir d’excuse pour se détester.
💬 Et vous, qu’est-ce que vous faites quand on vous tend la main ?
Vous l’attrapez ?
Vous l’ignorez ?
Vous vous en excusez ?
📩 Dites-le-moi.
Déposez vos mots en réponse à cette lettre, ici, sur Instagram, Facebook, ou dans le canal privé [by Christèle].
Parce que l’amour qu’on reçoit commence souvent par un mot qu’on ose écrire.
Parce que repartir de soi, c’est d’abord oser se recontacter là où on ne s’était plus écouté.
Retour d’expérience :
"Il se trahissait chaque jour."
Léo, 49 ans.
Cadre dirigeant, reconnu, brillant, fidèle à ses équipes.
Deux mots résumaient tout pour lui : loyauté et confiance.
Et pourtant, il ne s’en offrait aucune.
Il vivait dans un sabordage permanent.
Convaincu qu’un jour, "on" découvrirait qu’il n’était pas à la hauteur.
Dans chaque réunion, il se suradaptait.
Dans chaque échange, il minimisait ses idées.
Et quand on le félicitait, il souriait… mais se disait en boucle :
"Si tu savais vraiment qui je suis…"
On a travaillé sur ce paradoxe :
Comment se dire loyal… quand on se trahit ?
Comment réclamer la confiance… quand on n’en offre aucune à soi-même ?
La première étape n’a pas été de faire.
Mais de se laisser recevoir.
Sans justification.
Sans rattrapage.
Le jour où il a accepté de dire :
"Je suis fatigué. J’ai peur. Je me sens seul."
Sans s’en excuser…
C’est là qu’il a cessé de repartir de zéro.
Il a commencé à repartir de lui.
Votre entraînement du week-end :
La main qu’on refuse…
🎯 Objectif : repérer vos réflexes de retrait face à l’accueil.
1️⃣ Repensez à la dernière fois où quelqu’un vous a tendu la main :
→ un compliment,
→ un geste d’aide,
→ un mot doux,
→ un regard bienveillant.
2️⃣ Notez ce que vous avez ressenti :
→ Malaise ? Gratitude ? Méfiance ? Envie de fuir ?
3️⃣ Complétez cette phrase :
→ "Quand on m’accueille, je…"
→ "Parce qu’au fond, j’ai peur que…"
4️⃣ Et terminez par cette permission :
→ "Je peux recevoir sans me justifier."
Ce n’est pas une faiblesse. C’est un entraînement.
Une pensée pour vous :
Recevoir n’est pas une dette.
C’est une preuve que vous n’êtes pas seul.
Ma recommandation d'expert :
🔥 Si vous vous sentez en lutte constante contre vous-même,
si vous passez plus de temps à résister qu’à vous accueillir…
🎯 Le programme Métamorphose – Spécial Charge Mentale & Burnout est conçu pour ça.
Pas pour colmater.
Mais pour réapprendre à vous soutenir, sans attendre que tout craque.
👉 je découvre le programme Métamorphose : le protocole clinique qui réapprend à ne plus être en lutte contre soi.
📢 Mon actualité :
✨ Retour sur une soirée inoubliable
Cette semaine, j’ai participé à la table ronde “Tomber et se relever”, du Cercle LM, un espace rare et précieux dédié à l’empowerment féminin. L'iniative du femme merveilleuse : Axelle Mathery, la CEO de Maison 123,
🌿 60 femmes réunies à l’hôtel Fourvière de Lyon (un lieu magique pensé notamment par sa co-fondatrice Marianne Borthayre), pour un moment intime, fort et sincère.
Nous avons parlé de santé mentale, des tabous qui l’entourent, des périodes de doute qu’on traverse tous, et de cette lumière qu’on peut finir par retrouver, un pas après l’autre.
J’ai partagé la scène avec Constance Hamel et Alice Develle, deux femmes inspirantes et engagées. Leur authenticité, leurs expériences et leur courage m’ont profondément touchée.
💬 Un immense merci à Claire Mougenot-Lesne, qui a orchestré et animé cette soirée avec une main de maître, en créant un cadre à la fois bienveillant et puissant.
Et aussi à Ceylia, Sophie et Marie-Julie de Maison 123, qui ont œuvré en coulisses pour faire de ce moment quelque chose d’iconique.
J’ai eu à cœur de transmettre un peu de mon histoire : tomber, se relever, et apprendre à repartir… non pas de zéro, mais de soi.
Ces espaces sont essentiels. Parce qu’ils rappellent qu’on peut être vulnérable et digne, fragile et forte, en même temps. Et qu’on est toujours plus grandes que ce qu’on croyait.
🎯 Reprise des Ateliers Signature :
Les dates arrivent dans quelques jours.
Il y aura certainement d'ailleurs un atelier à venir sur ce sujet "tomber et se relever"
Alors restez attentifs : je crois que les places vont partir vite.
Le week-end prochain :
Lettre #36 – Ces liens qu’on croit devoir sauver… et qui nous empêchent de respirer.
👉 Parce qu’à force de se battre pour préserver certains attachements, on finit par se perdre soi-même.
Et si renoncer n’était pas un abandon… mais une respiration retrouvée ?
Christèle 🌱
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Un atelier, un déclic !
Les Ateliers Signature de Christèle Albaret vous invitent à sortir des sentiers battus : découvrez les prochaines thématiques qui transforment.
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