Un mot en confidence
J’en ai assez d’entendre que l’anxiété, “ça se gère”.
Comme si c’était un excès de drama. Comme si c’était juste un manque de calme, ou de volonté.
Non.
L’anxiété, ce n’est pas un caprice. Ce n’est pas une défaillance. C’est un système en excès de loyauté. Un cerveau qui alerte encore et encore…
parce qu’on ne l’a jamais autorisé à trier autrement.
Et tant qu’on continue à vouloir "calmer" sans comprendre, on vous pousse à vous couper de vous-même. Alors aujourd’hui, non, je ne vais pas vous dire de respirer. Je vais vous dire ceci : Et si votre cerveau était prêt à élaguer… mais qu’il attendait votre permission ?
Bonjour, c’est Christèle 👋,
Bienvenue dans cet espace où l’on arrête de calmer l’anxiété pour de faux… et où l’on apprend enfin à rééduquer ce que le cerveau n’a jamais su trier.
Ce que vous appelez anxiété… c’est peut-être une fidélité neuronale
Votre cerveau ne vous veut pas du mal.
Mais il obéit à une règle brutale :
Ce qui se répète, se renforce.
Et ce qui se renforce… devient automatique.
Peu importe que ce soit utile, sain ou souhaité. Votre cerveau ne trie pas par pertinence. Il trie par fréquence. Il vous rend loyal à des schémas que vous n’avez jamais choisis consciemment.
Et ces schémas ? Souvent, ce sont des pensées de peur. Des réflexes d’alerte. Des mécanismes de protection obsolètes.
Ils vous ont aidé un jour. Mais aujourd’hui, ils vous saturent. C’est là qu’intervient l’élagage synaptique. Un processus fondamental, mais invisible :
Si vous cessez de renforcer une connexion, elle s’éteint.
Et si vous stimulez une nouvelle voie, elle prend le relais.
Voilà le twist que personne ne vous a dit :
Ce n’est pas votre anxiété qui est trop forte.
C’est votre tri intérieur qui est resté figé dans l’ancien.
Et la vraie libération, ce n’est pas de “se détendre”. C’est de désactiver ce qui n’a plus lieu d’être. Pas à coups de volonté. Mais par une reprogrammation douce, régulière, loyale… envers ce que vous êtes aujourd’hui.
Comprendre l'élagage synaptique
Votre cerveau ne garde pas tout. Il trie. Et ce tri, il le fait grâce à un mécanisme fondamental : l’élagage synaptique.
Mais en cas de stress chronique, trauma, ou épuisement émotionnel, ce tri se dérègle.
- Rumination, inquiétude, auto-surveillance ? Il les renforce. Même si elles vous épuisent.
- Apaisement, humour, plaisir, intuition ? Si vous ne les activez plus, le cerveau les relègue au second plan.
- Hypervigilance, confusion, hypersensibilité, fatigue mentale. Non pas parce que vous êtes fragile, Mais parce que votre système a mal trié.
Ce n’est pas votre calme qu’il faut récupérer. C’est votre droit de trier autrement.
Et j’ai une question à vous poser. Parce qu'en effet je suis fatiguée de lire des généralités sur l’anxiété. Et vous ? Qu’est-ce qui vous épuise le plus dans ce que les gens croient savoir sur l’anxiété ?
🎯 Dites-le-moi ici, ou en commentaire sur Instagram ou rejoignez moi pour échanger sur mon canal [Boost]. Parce que si on veut changer la manière dont on en parle, il faut d’abord oser dire ce qu’on ne veut plus entendre.
Retour d’expérience :
"Je voulais juste que ça s'arrête"
Clara, 36 ans, me dit en début de séance : "Je veux juste ne plus ressentir cette anxiété". Plus jamais. Pas "la comprendre". Pas "l’apaiser" . Juste l’éradiquer.
Et comme beaucoup de patients anxieux, elle avait mis en place une stratégie… qui produisait exactement l’inverse.
Elle fuyait les situations floues. Évitait les discussions. Étouffait ses émotions.
Et surtout : elle ruminait. En silence.
"Je fais tout pour ne pas y penser. Et pourtant, je pense à tout."
Ce n’était pas du contrôle. C’était un enfermement. Et son cerveau, lui, tentait de faire du tri. Mais sans permission, il se retrouvait à renforcer ce qu’il aurait dû élaguer. Et là, je lui ai dit :
"Vous voulez moins ressentir. Mais vous bloquez le seul mécanisme naturel qui pourrait vous aider à désactiver le passage".
C’est à ce moment-là qu’elle a compris : Ce n’était pas "ressentir" qui faisait peur. C’était la croyance que ressentir allait la mettre en danger.
On a travaillé à redonner une voie de sortie à l’émotion. Pas par débordement.
Mais par permission. Et son premier soulagement est venu de là : Autoriser ce que son cerveau attendait pour pouvoir enfin faire le tri.
Votre entraînement du week-end :
Stimuler l’élagage en 3 minutes
L’élagage synaptique, c’est comme le sommeil : ce n’est pas une décision, c’est une autorisation. Alors ce week-end, je vous propose un protocole express en 3 minutes, pour donner à votre cerveau le signal qu’il peut relâcher.
1️⃣ 3 minutes de silence. Sans distraction. Sans scroll.
Laissez votre cerveau sans influx. Pas pour méditer. Juste… pour cesser d’empiler.
2️⃣ Posez cette question simple :
👉 "Quelle pensée aujourd’hui m’a épuisé sans m’aider ?"
Ne cherchez pas une grande réponse. Juste une pensée récurrente, stérile.
Notez-la. Rien d’autre.
3️⃣ Fermez les yeux, et dites cette phrase à voix basse : "Je ne suis plus obligé de penser ça. Je peux élaguer."
🎯 C’est tout.
Ce n’est pas une performance.
C’est un micro-signal de décrassage intérieur.
Une pensée pour vous :
Vous n’avez pas besoin de tout comprendre pour commencer à trier. Il suffit parfois d’un seul "stop" intérieur… pour que le cerveau entende : "Ce n’est plus par là."
Ma recommandation d'expert :
Quand l’élagage naturel est bloqué, ce n’est pas juste le stress qui monte, c’est tout votre système nerveux qui sature.
Ce que vous appelez "anxiété", "épuisement", "rumination"… ce sont souvent les signes d’un cerveau qui ne parvient plus à trier.
Métamorphose, ce n’est pas un soin de confort. C’est une méthode clinique structurée. J’ai conçu Métamorphose à l’origine pour les personnes en burnout, en stress chronique, en épuisement émotionnel. Puis j’ai élargi la méthode.
Aujourd’hui, Métamorphose est un programme clinique de transformation intérieure, pensé pour :
✔ Réinitialiser vos circuits de tri émotionnel et cognitif
✔ Sortir des schémas de suradaptation et de rumination
✔ Relancer un élagage synaptique sain et protecteur
✔ Retrouver une stabilité intérieure ancrée, pas forcée
L'engagement de ce programme clinique : sortir du fonctionnement en pilote automatique… pour retrouver une vie psychique habitée, ajustée, vivable.
Découvrez Métamorphose 👇
📢 Mon actualité :
Cap sur la Chine
Dans quelques jours, je m’envole pour la Chine. Direction : le Yunnan et le Tibet. C’est un voyage que j’attendais. Un de ceux où l’on sait qu’on va devoir reconstruire ses repères de zéro. Nouvelle langue, nouveaux rythmes, nouveaux paysages intérieurs.
Je pars avec une amie précieuse, on est radicalement différentes, et pourtant, ensemble, tout s’équilibre. Comme si nos opposés avaient appris à marcher dans le même tempo.
Ce mélange d’excitation et d’appréhension ? C’est exactement ce que j’aime : "Être à la frontière entre ce que je connais… et ce que je vais devoir ressentir autrement."
📲 Je partagerai avec vous quelques éclats de ce voyage sur Instagram.
Mais pas trop. Parce que parfois, pour bien observer… il faut laisser l'espace.. Et accepter de ne pas tout commenter.
Le week-end prochain :
Lettre #32 — Surprise.
Je ne vous en dis pas plus. Je laisse la Chine, mes pas, mes pensées… m’inspirer.
📬 Une chose est sûre : Vous recevrez une lettre. Pas une leçon. Un éclat. Une bascule. Une permission nouvelle.
À très vite,
Christèle 🌱
|
|
Un atelier, un déclic !
Les Ateliers Signature de Christèle Albaret vous invitent à sortir des sentiers battus : découvrez les prochaines thématiques qui transforment.
|
|
|
Consultation d'expert
Un déclic commence souvent par une rencontre. Prenez rendez-vous dès aujourd’hui et offrez-vous l’opportunité d’avancer "efficacement" et à votre rythme.
|
Best seller
100% santé émotionnelle
|
|
Dire stop
à la faim émotionnelle
|
|
Mode d'emploi
pour soi et pour les autres
|
Se désabonner : Unsubscribe
Prolongez l'expérience, suivez moi sur toutes les plateformes 👇